Nombreux témoignages

Bernard Beauzamy pour radio Athena –  Covid : plus de peur que de mal – YouTube

Le point de vue de Joseph Leddet

Société française : vers un changement officiel de nos moeurs imposé par le gouvernement
Avec la notion de « commerces non essentiels », les grands dirigeants de la planète ont acté l’idée que, dans ce contexte « d’effroyable pandémie » (idée en fait totalement bidon), il était urgent de changer nos habitudes pour nous protéger contre cet horrible virus, en nous obligeant à vivre tapis, malheureux survivants réduits à une vie confinée et moralement correcte. C’est ainsi que nos moeurs ont été forcées d’évoluer: d’après la télé, il est à présent totalement normal d‘aller faire ses courses matin ou soir au supermarché ou chez le boulanger du coin ; par contre, bar, restaurant, théâtre, cinéma, salle de sport, boîte de nuit, tout cela est fermé depuis des mois, car a priori mauvais, inutile et large propagateur du virus (en gros, politiquement non correct). En parallèle, tout en nous interdisant de vivre comme on en avait l’habitude, on commence à nous imposer des trucs bizarres ; c’est ainsi qu’un site officiel du gouvernement promeut le recrutement en entreprise des jeunes « transgenre » (cf. campagne actuelle « à chacun sa solution » du Ministère du Travail). A contrario, une proposition de loi contre les abus sexuels fixe à 13 ans l’âge minimal pour autoriser les contacts intimes consentis, ce qui paraît à vrai dire un peu limite. Et le projet de texte de la « Charte de l’Islam de France », malgré ses avancées laïques, continue à autoriser le port du voile islamique pour les fillettes de cinq ans. Par ailleurs, on encourage officiellement l’apprentissage de l’arabe dialectal par les jeunes écoliers du primaire franco-maghrébins, via des profs tunisiens spécialement recrutés pour cela et intégrés au corps professoral national, ce qui va vraiment à l’encontre d’un objectif d’assimilation indispensable à la paix des braves, assimilation qui repose sur la maîtrise élémentaire du français comme langue commune et unique pour tout enfant scolarisé né de nationalité française. Il est à vrai dire assez effrayant de constater que toutes ces dérives, largement soutenues par les pouvoirs publics, sont en passe de saper les fondements naturels et essentiels de notre société civile. Et ce sous la haute autorité de M. Macron, président de la République française.
Refus du rachat de Carrefour par le canadien Couche-Tard : l’Etat français à côté de la plaque
Le groupe de distribution canadien Couche-Tard a été empêché par l’Etat français de prendre le contrôle du groupe Carrefour, et ce au nom de la « sécurité alimentaire nationale », dixit Bruno Le Maire, ministre de l’Economie. On est vraiment mort de rire devant un prétexte aussi bidon, sachant que Carrefour, qui représente environ 15% de la grande distribution nationale, et dont les hypermarchés ou les magasins de ville sont faits pour rester sur place, quelle que soit l’évolution de son actionnariat, continuera toujours à jouer son rôle de méga-épicier pour nourrir les français, et ce même en cas de changement complet de propriétaire.
Si l’on veut parler de protection des entreprises stratégiques françaises, suggérons à M. Le Maire de rappeler à son patron E. Macron la scandaleuse cession, par lui organisée quand il était Secrétaire général de l’Elysée puis Ministre des finances, du groupe Alstom-Energie à l’américain General Electric, livrant sans contrepartie dans les mains de l’ogre américain tous les secrets de notre défense et notre industrie nucléaire : en d’autres temps, on aurait parlé de haute trahison, passible de la Cour martiale. Lire à ce sujet l’excellent ouvrage de Jean-Michel Quatrepoint, « Alstom, un scandale d’Etat ». Et, sur un ton plus bénin, comment faire passer aux canadiens le fait qu’Alstom-Transport ait pu racheter avec leur accord il y a quelques années leur fleuron des transports industriels Bombardier, alors que nous français refusons aujourd’hui de leur vendre juste l’un de nos 4 ou 5 gros épiciers, et ce prétendument pour des raisons stratégiques obscures ?

Un texte bouleversant dont chaque phrase est à méditer…  Vivre:

« Depuis que le virus tue, on nous répète comme une leçon universelle que la vie est le bien le plus précieux et qu’il faut la protéger, quoi qu’il en coûte. Quoi qu’il en coûte ? Ce discours semble ne souffrir aucune contradiction ni tolérer la moindre nuance. Et pourtant…

Comment ne pas voir que vivre ne consiste pas seulement à rester en vie ? D’où vient ce manque de profondeur, cette perte de perspective, cette cécité qui frappe notre monde ? Comment avons-nous laissé se dégrader nos vies au point de les confondre avec notre seule survie ?

Survivre quoi qu’il en coûte ? Mais quelle est donc cette vie pour laquelle nous serions prêts à consentir à tous les sacrifices ? Quelle est cette mort qui nous terrifie au point de lui livrer en pâture notre vie sociale, nos visages désormais masqués, nos anciens abandonnés dans leur solitude, nos embrassades interdites et jusqu’à nos mains qui ne peuvent plus se serrer ? Sommes-nous donc prêts à tout, y compris à cesser de vivre, pour ne pas mourir ? Cesser de vivre pour ne pas mourir… L’étrangeté de ces mots et l’absurdité vers laquelle ils nous précipitent !

Survivre quoi qu’il en coûte ? Mais à l’évidence, il ne suffit pas de rester en vie pour être vivant. Et nous savons bien ce qu’est le naufrage d’une existence qui ne sait rien faire d’autre que s’agripper à elle-même.

Survivre quoi qu’il en coûte ? L’erreur grossière consiste à penser que la vie serait un capital que nous aurions reçu au commencement et qu’il s’agirait de défendre contre toutes les attaques extérieures. Un capital voué inexorablement à fondre, au fil des ans, comme banquise au soleil. Car la mort surviendra tôt ou tard. Sommes-nous donc condamnés à vivre comme une armée battant en retraite ? Jusqu’à l’inévitable défaite… Est-ce cela vivre ?

Survivre quoi qu’il en coûte ? Bien sûr, il nous faut lutter contre ce virus et protéger notre santé comme on protège la banquise de son effondrement. Mais protéger la vie, c’est autre chose ! La vie n’est pas un capital à défendre mais un horizon à atteindre. Elle n’est pas une bouée à laquelle on s’agrippe mais un trésor qu’il nous faut trouver. Vivant, il ne s’agit pas de le rester mais plutôt de le devenir ! Et nous ne sommes encore qu’imparfaitement vivants. Bien souvent, nous vivons dans le seul but de ne pas mourir. Ce n’est pas cela vivre…

Mais vivre ! Et tenir la main du vieillard jusqu’à son dernier souffle ; sentir que ces minutes-là sont plus précieuses que la plus scientifique des immunités. Vivre et ne pas concéder le moindre compromis quand il s’agit de rester humains. Jusqu’au bout. Quoi qu’il en coûte…

Vivre ! Et ne pas se plier aux menaces des violents. Savoir que la mort est toujours un risque mais qu’il y a plus grave que mourir : c’est de ne pas oser vivre. Vivre et ne pas avoir peur de risquer sa vie. Quoi qu’il en coûte…

Vivre ! Et ne plus savoir compter, calculer, mesurer, comparer, produire ; mais apprendre à s’émerveiller, chanter, offrir, jouer, contempler. Donner plus d’importance à ce qui ne sert à rien : au jeu de l’enfant, au silence dans le vent du soir et aux fleurs qui ne savent même pas qu’elles sont belles. Quoi qu’il en coûte…

Vivre ! Et accueillir notre fragilité comme une chance. En avoir fini avec l’angoisse de ne pas être tout, de ne pas pouvoir tout. Ne plus avoir à se prouver que l’on mérite de vivre. Ne plus avoir à mériter. Mais vivre simplement. Quoi qu’il en coûte…

Vivre ! Et ne plus regarder le temps qui passe comme l’horloge implacable qui m’attend ou le sablier qui dévide mes heures. Mais accueillir le temps comme un ami qui joue dans mon camp. Et qui me bonifie comme les années rendent bon le vieux vin. Vivre et ne plus avoir peur de vieillir, de se rider, de se courber et de faiblir. Quoi qu’il en coûte…

C’est cela vivre. C’est cette vie-là qu’il nous faut défendre, quoi qu’il en coûte. Quitte à en mourir… Mourir sans doute, mais mourir vivants ! » Christian Cherel

Au bout d’une conduite d’égout ou l’espérance humaine face à la manipulation avancée voir réseauinternational.net

 

Le covid n’est pas la raison pour laquelle les hopitaux sont débordés!  voir site lesmoutonsrebelles.com

 

Les masques commencent à tomber

«Le laboratoire biologique chinois de Wuhan appartient à Glaxosmithkline qui (par hasard) possède Pfizer! (celui qui produit le vaccin contre le virus qui (par coïncidence) a commencé dans le laboratoire biologique de Wuhan, qui (par coïncidence) a été financé par le Dr Fauci qui (par coïncidence) fait la promotion du vaccin!

«GlaxoSmithKline (par coïncidence) est géré par Black Rock finance qui (par coïncidence) gère les finances de l’Open Foundation Company (Soros Foundation) qui (par coïncidence) sert le français AXA!

« Par coïncidence Soros possède la société allemande Winterthur qui (par coïncidence) a construit le laboratoire chinois à Wuhan et a été rachetée par l’allemand Allianz qui (par coïncidence) a Vanguard comme actionnaire qui (par coïncidence) est actionnaire de Black Rock, qui (par coïncidence) contrôle les banques centrales et gère environ un tiers du capital d’investissement mondial.

« Black Rock (par coïncidence) est également un actionnaire majeur de MICROSOFT, la propriété de Bill Gates, qui (par coïncidence) est un actionnaire de Pfizer (qui – vous vous en souvenez? Vend le vaccin miracle) et (par coïncidence) est actuellement le premier sponsor de l’OMS! Vous comprenez maintenant comment une chauve-souris morte vendue sur un marché humide en Chine a infecté TOUTE LA PLANÈTE! « Moez Mriga ….LA BOUCLE EST BOUCLÉE 🙂

Une restauratrice déséspérée

Et François de Closet (87 ans) au secours des jeunes générations 

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