J’accuse , d’après Emile Zola

J’accuse (d’après Emile Zola)

 

Madame et Messieurs les Présidents de la Cour Internationale de Justice, de la Cour Internationale des Droits de l’Homme, de la Cour Européenne de justice, et de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

J’accuse le président Emmanuel Macron d’avoir été l’ouvrier diabolique de la destruction de la France, en inconscient, je veux le croire, et d’avoir ensuite défendu son œuvre néfaste, par les décisions les plus saugrenues et les plus coupables, bravant impunément la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et la Constitution Française, spoliant des milliers de commerçants de leurs activités et des centaines de milliers de salariés de leur emploi, transformant ainsi la France en une semi-dictature, au mépris du premier mot de notre devise LIBERTE ! Je l’accuse également des conséquences de cette grande spoliation, en particulier des  décès par suicide de ceux qui ont ainsi perdu leur gagne-pain. Je l’accuse, enfin, d’avoir entièrement détruit nos plus beaux fleurons français, vecteurs de notre cuisine inscrite au Patrimoine mondial de l’Humanité, nos restaurants, dont le prestige manquera dramatiquement à notre pays et dont les installations seront vraisemblablement rachetées à bas prix.

J’accuse Monsieur Edouard Philippe de s’être rendu complice, tout au moins par faiblesse, d’une des plus grandes stupidités du siècle, un confinement de plus de deux mois aussi absurde qu’inefficace sur l’épidémie et destructeur de l’économie.

J’accuse Monsieur Jean Castex d’avoir, par vanité et arrivisme, accepté une fonction très au-dessus de ses compétences et d’avoir, sans aucun discernement, « déconfiné » de manière incontrôlée,  puis de nouveau assigné à résidence pendant plusieurs semaines toute la population Française, y compris dans les zones rurales et les régions de très faible contamination du virus.

J’accuse Monsieur Olivier Véran, Ministre de la Santé, d’avoir eu entre les mains les preuves certaines de l’honnêteté des travaux et des traitements mis en œuvre par Monsieur Didier Raoult, un des plus grands scientifiques au monde, et de les avoir étouffées, d’avoir menti aux français durant de nombreux mois, sur les masques, sur les tests,  les traitements, agissant autoritairement sur la base de statistiques ne justifiant en aucun cas ses décisions. Je l’accuse de s’être rendu coupable de ce crime de lèse-humanité et de lèse-justice, interdisant aux médecins de respecter leur serment d’Hippocrate, dans un but politique et pour sauver un état-major sanitaire corrompu, au motif de préserver les infrastructures de santé qu’il a lui-même compromises par son incapacité à les accroître. Je l’accuse également d’avoir fait euthanasier au Rivotril nos aînés dans les Ehpad par des instructions scélérates et d’avoir interdit, sans aucune base médicale, le seul médicament susceptible de soigner les malades, se rendant ainsi directement responsable de nombreux décès par mise en danger de la vie d’autrui . Je l’accuse enfin, d’avoir investi des milliards d’euros dans l’achat de traitements qui se sont avérés inefficaces et de vaccins dont l’efficacité et l’absence de risques sanitaires restent entièrement à démontrer.

J’accuse Madame Agnès Buzyn de s’être rendue complice du même crime, niant initialement le risque que l’épidémie arrive en France, sans doute par attachement au laboratoire P4 de Wuhan inauguré par son époux, et peut-être aussi par négligence, en rapatriant le virus avec le pilote de retour de Wuhan, avant de déserter son poste au moment le plus critique.

J’accuse le Ministre de l’Economie Monsieur Bruno Lemaire, d’avoir dépensé les ressources de notre Sécurité Sociale pour financer des tests inutiles et biaisés, notamment et à répétition sur des personnes ne présentant aucun symptôme de maladie, et d’avoir tenté sans succès de compenser les dégâts économiques des mesures absurdes en distribuant des milliards d’euros que la France ne possède pas, générant ainsi une dette qui pèsera pendant des générations sur les épaules de nos enfants et petits-enfants, et mettant ainsi notre pays en dépendance envers l’étranger.

J’accuse le sieur Delfraissy,  Président du Conseil Scientifique ainsi que les nombreux experts sanitaires, notamment les sieurs Raffi, Reynes, Deray, Molina, Lescure, Tattevin, la dame Lacombe, d’avoir fait des déclarations diffamatoires, porté des plaintes infondées et fait des rapports mensongers et frauduleux, au bénéfice notamment des laboratoires les rémunérant. Je les accuse en particulier d’avoir empêché par ces rapports de soigner les malades en prévenant l’aggravation des symptômes,  avec un protocole peu coûteux, et d’avoir indirectement provoqué de nombreux décès.

J’accuse les Agences Régionales de Santé et le Professeur Salomon, Directeur Général de la Santé, d’avoir mené dans la presse, particulièrement dans BFM TV et dans Le Monde, une campagne abominable, visant à effrayer le peuple,  égarer l’opinion, culpabiliser les jeunes,  justifier les décisions absurdes et ainsi couvrir les fautes des personnes précitées, aboutissant à un climat psychotique et de nombreux suicides de personnes isolées.

J’accuse enfin l’Education Nationale, sous la responsabilité de son Ministre Jean-Michel Blanquer, d’avoir déscolarisé de nombreux élèves, les éloignant définitivement des apprentissages scolaires et d’avoir  accepté de museler des enfants de six ans, au mépris de leur développement affectif, social et linguistique et de leur santé respiratoire.

En portant ces accusations, je n’ignore pas que je me mets sous le coup des articles 29 et suivants de la loi sur la presse du 29 juillet 1881, qui punit les délits de diffamation. Et c’est volontairement que je m’expose.

Quant aux gens que j’accuse, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n’ai contre eux ni rancune ni haine. Ils ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Et l’acte que j’accomplis ici n’est qu’un acte de résistance pour hâter l’explosion de la vérité et de la justice.

Je n’ai qu’une passion, celle de la lumière, au nom de l’humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n’est que le cri de mon âme. Qu’on ose donc me traduire en justice et que l’enquête ait lieu au grand jour ! J’attends.

Veuillez agréer, Madame, Messieurs les Présidents, l’assurance de mon profond respect.

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