A l’aube de cette année 2013,
il me faut donc encore une fois me remémorer cette devise!
J’ai, hélas, toujours eu tendance à croire au Père Noël…
Mais il ne m’a encore apporté que du sable,
qui s’écoule entre mes doigts
aussi vite que passe le temps.
Le temps est à présent ce qui me manque le plus.
La vie continue avec son lot de tristesses.
Trop de disparus récemment dans mon entourage,
trop de rêves évanouis dans ma tête aussi,
trop de naïveté de ma part sûrement aussi.
Il n’y a plus de temps à perdre à espérer le bonheur,
seul le présent doit être vécu comme un bonheur,
même et surtout s’il est très imparfait
et si son conditionnel s’est évanoui.
Besoin ce soir d’évacuer ici ma nostalgie,
elle disparaîtra mieux avec cette page,
je l’espère assez vite.
Demain il fera beau!
Fluctuat nec mergitur!!!