A l’aube d’un automne difficile

J’ai laissé passé l’été sans alimenter ce blog, essayant de faire le plein d’énergie pour affronter cette période qui s’annonce extrêmement difficile pour la résistance.

Devant l’ampleur des manifestations (auxquelles j’ai évidemment participé) contre le « pass de la honte », outil de discrimination, de ségrégation et de violence sociale qui concrétise l’ampleur de la dictature ayant pris possession de notre beau pays, le gouvernement a commencé par mentir et tenter de diminuer la taille des mouvements de contestation contre des privations de liberté totalement contraires à la devise de la France et à ses institutions. Ils ont discrédité les résistants, les traitant d’imbéciles alors que nous sommes les seuls à avoir pris conscience de ce qui se passe.

Sans succès, la mobilisation n’a cessé de croître en juillet et août avec une apogée samedi dernier 11 septembre. Les violences policières ont alors recommencé, comme du temps des gilets jaunes, mouvement pourri par les « black blocks » mandatés par le N. O. M.

Je suis dans un état d’esprit très partagé, évidemment décidée à poursuivre jusqu’au bout la lutte pour défendre ce qu’il reste de nos libertés, mais en même temps déçue par la prise de conscience que les marionnettes de Davos au pouvoir dans la plupart des pays occidentaux, ont entre les mains toutes les cartes. Ils tiennent tout par l’argent, la corruption ou la menace : les médias officiels, les réseaux sociaux, le corps médical, n’hésitant pas à en exclure toute voix discordante.

Le massacre des jeunes est en marche et tous les dégâts qui résultent de cette piqûre sont soigneusement cachés au public. Ils auront bientôt piqué 50 millions de français. Combien de départs prématurés et de vies gâchées ! Je me suis battue pour informer mes proches, avec un succès hélas partiel.

L’Apocalypse se fait attendre, malgré le dévouement de nombreux résistants, dont le seul défaut est la difficulté à coordonner leurs actions. La marque de la Bête, nommée à tort « vaccin » ne cesse de s’étendre et de s’imposer dans la vie courante.

J’ignore ce qui va se passer à l’automne mais je ne suis plus très optimiste, car il semble que tout soit fait pour susciter une révolution des parents : ils commencent à s’attaquer aux enfants, ce que bien des parents n’accepteront jamais, car il est prouvé que les enfants n’encourent aucun risque de ce virus mais énormément de risque de l’injection.  Ils ont essayé de parler d’immunité collective grâce au « vaccin » et il s’avère que cette injection génère au contraire des variants et que même l’OMS admet que l’immunité collective est inatteignable.

Valérie Buguault met en garde contre les risques qu’une révolution du peuple, auquel Macron a déclaré la guerre, n’aboutisse à la mise en oeuvre de la loi martiale, et je pense que le gouvernement n’attend en effet que cela.

Des fusibles commencent à sauter, comme Agnes Buzyn, mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui, inculpation qu’elle mérite largement, même s’il est évident qu’elle a agi sur ordre. Je doute que toute la filière des coupables, même simplement en France, soit remontée.

Le Corona Committee de Reiner Fuellmich, qui vise les coupables à l’échelle internationale, progresse, mais le temps de la justice n’est pas celui de la démolition et la France est à présent détruite. Détruite par des rachats en masse par les acteurs de CAC 40 et les fonds d’investissement d’entreprises en faillite , détruite par un endettement passé de 98% à 120% du PIB,  qui va peser pendant au moins trente ans sur les français, détruite par des libertés profondément aliénées et une partie de la population embrigadée dans la « collaboration » avec cette dictature.

En résumé, le gouvernement qui a déclaré la guerre à son pays et à son peuple a gagné la première bataille. Il est fort à craindre qu’il ait gagné la guerre.

Nous, les résistants, continuerons néanmoins à nous battre pour nos enfants et petits enfants. Eviter déjà l’injection à ceux-ci est une priorité absolue de court terme.

J’ai hésité à réunir de nouveau ici toutes les preuves à charge de l’action destructrice du gouvernement et en particulier de l’injection génique qu’il veut à toute force nous imposer. J’ai pu constater à divers indices que je suis surveillée et me demandais si le jeu en valait la chandelle. Je viens de décider de le faire, au péril de ma vie. Je considère cela comme un devoir moral.

J’ai donc réuni en vrac, pour qui souhaite s’informer au-delà des medias officiels de la dictature, divers liens, témoignages et vidéos . Pour en faciliter la saisie et la lecture, je ne les ai plus classés par thème, comme au cours des trimestres précédents. De toute façon , il est clair que toute la vérité doit être faite autour de ce qui constitue l’arme de surveillance et de dépopulation du NOM par le bras du président français (et d’autres dirigeants européens) : le « vaccin » ou plutôt l’injection génique susceptible de détruire concomitamment les libertés et la population.

Rappelons que cette injection, qui entraîne des effets secondaires graves en nombre très important (20 000 décès déjà déclarés en Europe, sans compter ceux « n’ayant aucun lien avec le vaccin ») a naturellement pour conséquence de substituer à une immunité naturelle solide une immunité acquise à la fois spécifique et de faible durée, nécessitant à présent une troisième injection.

Jamais deux sans trois… et quatre et cinq… etc… jusqu’à disparition définitive de l’immunité naturelle. Hélas peu de gens ont compris…

Je suis triste de savoir que tant de nos amis vont suivre et partir dans les prochains mois. Pour ma part c’est un NON définitif. NON à l’injection, non au pass de la honte, non à la perte de nos libertés. Si le dictateur actuel était réélu, je quitterais ce pays et peut-être ce monde que je croyais le monde d’avant mais qui n’était qu’une illusion de démocratie et de bienveillance.

 

 

 

 

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